Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée Hommes fessés
il y a 5 ans
Bon, j’ai fait une connerie, il n’y a pas de doute, une énorme connerie et je peux vous dire que je m’en mords les doigts. Mais ce qui est fait est fait : je ne peux pas revenir en arrière. Le tout est de savoir comment je vais pouvoir arranger les bidons et, pour le moment, c’est mal parti.
Mal parti, c’est le cas de le dire parce que, en fait, c’est Sabine qui est partie. Sabine, c’est ma femme. Cela me fait un peu drôle de l’appeler comme ça. Elle a le même âge que moi, 22 ans, et ça fait à peine un an qu’on est mariés, mais on se connaît depuis tout petits, depuis la maternelle. Nos parents étaient voisins, on est allés à la même école, on a grandi ensemble, c’est la première fille que j’ai embrassée, c’est la première fille avec qui j’ai fait l’amour et donc, tout naturellement, comme je vous l’ai dit, il y a un an on s’est mariés.
On était très amoureux, on était parfaitement heureux et les choses auraient dû continuer comme ça, mais paf ! J’ai fait la plus grosse connerie de ma vie. Pendant que Sabine était allée passer un week-end chez sa grand-mère qui habite en Savoie, je suis allé tout seul à une soirée. Il y avait Agathe. Agathe, c’est la meilleure copine de Sabine. Elle aussi, on se connaît depuis la petite école. On a dansé, on a beaucoup parlé ensemble, on avait pas mal bu aussi et vers minuit on est sortis dans le jardin pour prendre l’air. On s’est allongé dans l’herbe et puis … Je ne sais plus trop comment c’est arrivé, mais c’est arrivé. Le lendemain, dégrisé, je n’étais pas trop fier de moi, plutôt gêné aux entournures, le Manu. Bon, Sabine rentre le dimanche soir, je me dis que cet épisode sera vite oublié, que tout va rentrer dans l’ordre mais deux jours plus tard je rentre le soir et je trouve l’appartement vide.
Juste un mot de Sabine : « Salaud ! Tu peux aller retrouver Agathe.
Je retourne chez mes parents ». Catastrophe ! Quelqu’un nous avait vus et lui avait tout raconté. Je l’appelle sur son portable, une fois, deux fois, dix fois, elle ne prend pas mes appels. Le lendemain je l’appelle avec le portable de mon copain Sébastien, elle répond et dès qu’elle entend ma voix, elle raccroche. Le jour d’après, je me décide à appeler chez ses parents. C’est Pierre, son père, qui décroche. Normalement, il m’a à la bonne, on s’entend bien, mais là il est glacial : non, Sabine ne veut pas me parler.
Et il raccroche sèchement. Je laisse passer quelques jours, puis, prenant mon courage à deux mains, je rappelle encore. Là je tombe sur Françoise, sa mère. C’est pareil, alors que normalement elle m’adore, là elle se montre très froide. J’essaie de lui expliquer. Je lui raconte comment ça s’est passé, combien je le regrette, qu’il n’y a absolument rien entre Agathe et moi, que je n’aime que Sabine, que je l’aime à la folie.
Au bout d’un moment, elle se détend un peu. Je la sens fléchir. Elle me dit : « Ecoute, Manu, je vais essayer de lui parler encore, mais je ne te promets rien ». Deux jours plus tard, elle me rappelle. Elle me dit : « Voilà, on a beaucoup parlé avec Sabine. Cela n’a pas été facile parce qu’elle t’en veut à mort. Elle s’est vraiment sentie trahie. Je lui ai raconté tout ce que tu m’as dit, tes remords, tes bonnes résolutions. Finalement, elle accepte de reprendre la vie commune avec toi, mais à une condition ».
Je l’interromps : « J’accepterai n’importe quelle condition ». « Attends, me dit-elle, ne parle pas trop vite. Elle estime que la faute que tu as commise est d’une telle gravité que tu dois être puni pour cela, et sévèrement ». « Oui, bien sûr, lui dis-je un peu décontenancé, mais quelle punition ? ». « Elle exige que tu reçoives une bonne fessée en sa présence ». Je suis abasourdi. « Une fessée ? ». « Oui, me répond Françoise, une fessée déculottée qui te sera administrée par son père devant elle, et devant moi aussi, bien sûr ».
Une fessée ! Je n’en crois pas mes oreilles. Je n’ai jamais reçu de fessée de ma vie, ce n’était pas dans les idées de mes parents, et maintenant, à 22 ans ! « Tu n’es pas obligé d’accepter, poursuivit Françoise, mais c’est à prendre ou à laisser. Nous y avons beaucoup réfléchi, et c’est une décision que nous avons prise d’un commun accord tous les trois. Maintenant, la balle est dans ton camp ». Je suis coincé. Si je veux retrouver Sabine, je dois dire oui. Donc je dis oui. « C’est parfait, me dit Françoise, en ce cas il est inutile de laisser traîner. Viens à la maison ce soir à 19 heures ». Et elle raccroche.
A 19 heures précises, le cœur battant et l’estomac noué, je sonne chez Françoise et Pierre. C’est Pierre qui vient m’ouvrir et qui m’introduit dans le séjour où se trouvent Françoise et Sabine. Françoise m’embrasse, mais pas Sabine qui se tient toute droite, l’air buté, sans un sourire. Au centre du salon, il y a une chaise. Pierre s’y assied et Françoise me dit : « Allez, Manu, tu baisses ton pantalon et ton slip ».
Le rouge au front, les joues empourprées, je m’exécute. Me voici déculotté, le zizi et les fesses à l’air devant Sabine et mes beaux-parents. « Va t’allonger sur les genoux de Pierre », m’ordonne Françoise. Je lui obéis et, gauchement, je me couche à plat ventre sur les genoux de mon beau-père. Dans un équilibre instable, je m’accroche d’une main à un barreau de la chaise et de l’autre je m’agrippe à la jambe de Pierre. Il m’assujettit fortement, comme pour m’immobiliser.
Soudain, sans prévenir, la première claque s’abat sur mon postérieur et résonne dans toute la maison. Les autres suivent et se ressemblent. Pierre lève très haut le bras et sa large paume s’abat avec force sur mes fesses qui ne sont pas bien grandes. En moins de dix secondes elles me brûlent terriblement. Ce n’est pas une fessée pour rire : c’est ce qu’on appelle une raclée. Il a pour mission de me corriger et il me corrige pour de bon. Il me corrige sans colère, mais avec fermeté et détermination. Les claques s’abattent sur mon derrière nu avec une régularité de métronome.
Cela me brûle de plus en plus. Bientôt mes fesses ne sont plus qu’une gigantesque brûlure. Elles doivent être écarlates et je devine le regard de Sabine et de Françoise posé sur elles, sur mon intimité dévoilée. Jamais je n’ai eu aussi honte de ma vie. Je serre les dents et j’essaie de recevoir cette fessée courageusement, de préserver ma dignité, mais comment rester digne dans cette tenue et dans cette position ?
Pierre me fesse, il me donne la fessée comme si j’étais un gamin de huit ans dont on punit l’insolence, la désobéissance ou la paresse. Je me sens comme un môme sur ses genoux et je finis par me comporter comme un môme : je pleure, je chiale comme un môme. Brusquement la fessée s’arrête. J’apprendrai plus tard que c’est sur un signe de Sabine : il était convenu avec ses parents que c’était elle et elle seule qui mettrait fin au châtiment lorsqu’elle l’aurait jugé suffisant.
Pierre m’aide à descendre de ses cuisses et me dirige vers Sabine. Spontanément je tombe à ses genoux : « Pardon, mon amour, je suis désolé. Si tu savais comme je regrette, si tu savais comme j’ai honte ». Sabine m’interrompt : « De quoi as-tu honte » ? « De ce que j’ai fait avec Agathe », lui réponds-je. Sabine me relève et m’enlace : « Manu chéri, si tu as compris que c’est de la trahison que tu dois avoir honte, et non pas de la punition, alors tu as tout compris.
Maintenant je peux te pardonner ». Elle m’embrasse et caresse tendrement mes fesses brûlantes. Cette caresse provoque un effet inattendu autant que spectaculaire. Sabine éclate de rire et me reculotte vivement elle-même pour que ses parents ne s’aperçoivent de rien. Nous dînons ensemble tous les quatre puis Sabine va chercher sa valise et nous rentrons tous les deux chez nous. Mes fesses sont toujours bouillantes mais je crois que la nuit qui tombe va être chaude elle aussi. Très chaude.
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